« Une forte émotion dans la voix du ténor Eric Vivion »
Spectacle lyrique Festival « Danses et Musiques du Monde », Saint-Mandrier, 28/7/05 « Var Matin »
« Eric Vivion, ténor lyrique et chef de chœur prodigue, ovationné pour un concert mémorable dans la cathédrale Notre dame du Bourg comble »
Concert Lyrique et Sacré Digne les Bains, 28/7/05 « La Marseillaise »
« Une soirée mémorable...Un frisson semblait parcourir le public venu en grand nombre...Un concert captivant et émouvant...Les voix du Chœur Lyrique dont Eric Vivion assure la direction artistique et musicale se fondaient dans une remarquable masse polyphonique »
Concert Lyrique et Sacré Digne les Bains, 26/7/05 « La Provence »
« Eric Vivion, en ténor solo, a interprété le plus célèbre morceau de César Franck, Panis Angelicus avec un brio incontestable...Traits du visage,gestuelle,tout est venu renforcer le précieux instrument qu’est sa voix »
Concert Lyrique et Sacré Sélestat, 23/6/05 « Dernières Nouvelles d’Alsace »
« Le concert donné hier par Eric Vivion et son Chœur Lyrique d’Alsace Centrale, dans la salle des fêtes de l’Hôtel de Ville, fut un triomphe. Un programme remarquablement bien choisi dans toute sa splendeur. Magique ! »
Spectacle Lyrique Brumath, 04/06/05 « Dernières Nouvelles d’Alsace »
« Eric Vivion se lance dans un extrait de Rigoletto. L’air du Duc de Mantoue « Ella mi fu rapita » éclabousse l’abbatiale.Le ténor lyrique très à l’aise, vibrant et vivant,envoûte l’assemblée. Des sentiments explorés/exposés prenant possession des lieux,ne laissent personne indemne »
Festival « les Heures Musicales d’Ebersmunster », 02/06/05 « L’Alsace »
« Eric Vivion ,dans l’air de bravoure du Duc de Mantoue tiré de Rigoletto « Ella mi fu rapita »,donna un bel exemple de maîtrise stylistique en même temps que de flamme . A la tête de son Chœur Lyrique,le Regina Coeli de Cavalleria Rusticana unissait à merveille la jubilation de l’hymne et le souffle lyrique, vocation affichée à bon droit »
Festival « les Heures Musicales d’Ebersmunster », 31/5/05 « Dernières Nouvelles d’Alsace »
« Eric Vivion à la tête du Chœur lyrique d’Alsace Centrale fait partie des chœurs les plus demandés de la Région Alsace »
« Voyage en Alsace », Mai 2005 « Le Monde de la Musique »
« Eric Vivion, ténor à la voix chaude et de très grande qualité a donné à cette soirée toute sa richesse ainsi qu’une émotion intense »
Festival Art Sacré Ariège, 30/4/05 « La Dépêche du Midi »
« Eric Vivion ténor solo,a interprété de sa voix au timbre chaleureux,avec foi et conviction, Minuit Chrétien salué par des salves d’applaudissements »
Concert Lyrique Rhinau, 21/12/04 « Dernières Nouvelles d’Alsace »
« Eric Vivion, brillant ténor lyrique »
Festival Art sacré Ariège, 24/7/04 « La Dépêche du Midi »
« Un concert magnifique,salué par une ovation debout. Eric Vivion ténor lyrique et chef de chœur d’exception »
Festival Eglise Romane Rosheim, 13/6/04 « Dernières Nouvelles d’Alsace »
« En raison d’un site trop petit pour un talent si grand, les organisateurs. ont eu le génie de diffuser le concert en direct sur un écran géant au-dessus de la place de l’église. Bien entendu, celle-ci était bondée d’amateurs des célèbres chœurs et airs d’opéra de Mozart à Verdi. Une forte émotion dans la voix d’Eric Vivion en solo ».
M.S Concert Lyrique Festival « Danses et Musiques du monde », Saint-Mandrier, 28 Juillet 2005 « Var Matin »
« Une soirée mémorable avec le chœur d’Alsace...Dans un silence religieux, les 23 choristes prennent place. Un regard du chef charismatique vers l’organiste et la musique prend de l’ampleur, bientôt suivie par le Chœur. La magie opère. Un frisson semble parcourir le public, venu en grand nombre. Hier, Eric Vivion a donné, avec son chœur, un concert captivant et émouvant où les voix se fondaient dans une remarquable masse polyphonique. À la sortie, pour remercier un public conquis, les artistes formaient une haie d’honneur, en musique, autour des battants de la cathédrale. »
Concert Lyrique et Sacré Digne les Bains, 26 juillet 2005 « LA PROVENCE »
« Les talents lyriques de Centre-Alsace...Le Chœur lyrique d’Alsace centrale Eric Vivion est le directeur musical et artistique de ce chœur au répertoire aussi varié qu’émouvant ».
Concert Lyrique et Sacré Digne les Bains, 26 juillet 2005 « LA PROVENCE »
« Eric Vivion, chef de chœur prodigue Haie d’honneur des choristes et musiciens au public, ovation au chef de chœur, réception conviviale ce n’est pas un concert comme les autres que le Chœur lyrique d’Alsace centrale a donné à Notre Dame du Bourg. C’est dès lors en enfant prodigue de Digne et de la musique qui est revenu donner un concert mémorable, mardi soir, à la cathédrale Notre Dame du Bourg comble… Le Chœur lyrique aime à se référer à la définition du mot « lyrique » donnée par le dictionnaire : « qui exprime des sentiments personnels, nobles, sincères, de l’amour, qui est plein d’enthousiasme, d’inspiration, de chaleur ». Motivations partagées et plébiscitées par un public conquis et qui ne demande qu’à revoir son chef de chœur prodigue. »
Concert Lyrique et Sacré Digne les Bains, 28 juillet 2005 « LA MARSEILLAISE »
« Le lyrisme et le sacré.Une soirée haute en couleurs pour un public qui s’est déplacé en nombre. … Le répertoire de cette soirée a été placée sous le signe du renouveau, de l’espérance et de la liberté. … « Patria Oppressa » de Verdi où les mélopées à la fois puissantes et précises du chœur ont saisi le public au tréfond de son âme. … Oscillant entre le sacré et le profane, les morceaux se sont succédé sous les applaudissement toujours plus long et plus chaleureux, à l’image des voix profondes et chargées d’émotions. Eric Vivion. en ténor solo, a interprété le plus célèbre morceau de César Franck, Panis Angelicus avec un brio incontestable. Traits du visage, gestuelles tout est venu à renforcer le précieux instrument qu’est sa voix. La rigueur d’Eric Vivion qui forme lui-même ses chanteurs et connaît la portée du mot « lyrisme » se transcende dans un résultat splendide qui a permis aux auditeurs de passer une soirée d’une rare qualité ». Ph. Gr.
Concert Lyrique et Sacré, 23 juin 2005 « Dernières Nouvelles d’Alsace »
« Quelle est la magie qui a permis au public du Chœur lyrique du centre Alsace de ne jamais relâcher l’attention, qui a laissé ces nombreux mélomanes subjugués par une prestation éblouissante ? Éric Vivion se lance seul dans un extrait de « Rigoletto » de Verdi .L’air du duc de Mantoue, avec la complicité d’Estelle Gerthoffert, majestueuse à l’orgue, éclabousse l’abbatiale. Le ténor lyrique très à l’aise, vibrant et vivant, envoûte l’assemblée. Des sentiments explorés/exposés prenant possession des lieux, ne laissent personne indemne.« Patria Oppressa » (extrait de « Macbeth » de Verdi) ou le "Regina Coeli" de Pietro Mascagni (1863-1945) extrait de "Cavalleria Rusticana", puis en bis "Nabucco" et le fameux "chœur des esclaves" sont une illustration de l’excellente appropriation des messages contenus dans les œuvres... et de leur restitution vivante. Vigueur, rigueur, force d’exclamation, expressions contrastées et nuancées, tout s’imbrique, s’épouse ."Psaume 42" de Félix Mendelssohn-Bartholdy (1809-1947). Il y a là matière à se réconcilier avec la musique au service d’une offrande grandiose. Faisant fi des difficultés, les chanteurs se livrent avec un bonheur vif et alerte. L’allégresse se frotte à la supplication passionnée, le découragement rudoyant, une beauté austère mais noblement authentique. "L’Ave Verum" à trois voix de femmes de Francis Poulenc (1899-1963) fait s’exiler les dames dans le cœur du chœur, l’écho qui en revient est certes atténué et plus réservé, mais conserve une force dense, profonde, pénétrante. Magnificat : d’Arvo Pärt.Quelle grandeur dans le dévouement pour exprimer de demi-tons en demis-tons, l’humilité limpide, profonde que fait grandir Arvo Pärt, compositeur né en 1935 en Estonie... Le public est resté impressionné par la prestation des chanteurs et le témoignage amicalement bruyant et chaleureux à la fin dénote bien la qualité d’un partage qui restera une ardente communion. Cela est dû à l’abnégation des choristes, à l’art du chef de fédérer les uns et les autres. Éric Vivion, de ses deux mains qui se révèlent lance-flammes, délivre avec une fougue maîtrisée un feu sacré dévorant. On est admiratif, ému et… heureux ! »(Gilbert Mosser)
Festival « Les Heures musicales d’Ebersmunster », 02 juin 2005 « L’Alsace »
« Le Chœur lyrique a enchanté le public dimanche dernier lors des Heures musicales. … une réussite évidente : celle qui résulte d’un travail minutieux conjugué à l’enthousiasme. Sous la direction du ténor Eric Vivion, le chœur a montré l’étendue et l’originalité d’un répertoire particulièrement exigeant. La ferveur dans l’aisance c’est ce qui s’imposait dès l’écoute du Psaume 42, "Wie der Hirsch schreit nach frischem Wasser" œuvre majeure où Mendelssohn chante la "soif de Dieu". en un vaste élan d’allégresse. Le chœur lyrique, dans une interprétation vibrante, traduit fort bien le "pathos tendre et passionné" que le compositeur Ferdinand Hiller, ami de Mendelssohn percevait dans ces pages. Dans une partition au grand souffle, que dominaient parfaitement les vingt-deux choristes, on demeure frappé de la précision, du fondu et du modelé des voix obtenus par la souple direction d’Eric Vivion … le chœur montra combien il sait investir des climats contrastés, que ce soit dans la "nouvelle simplicité" du Magnificat d’Arvo Pärt ou dans celle, trompeuse, de l’Ave Verum de Poulenc. Eric Vivion lui-même, dans l’air de bravoure du duc de Mantoue tiré de Rigoleno. donna un bel exemple de maîtrise stylistique en même temps que de flamme, le Regina Coeli de Cavalleria Rusticana unissait à merveille la jubilation de l’hymne et le souffle lyrique, vocation affichée à bon droit » (Christian Fruchart)
Festival « Les Heures Musicales d’Ebersmunster », 31 Mai 2005 « Dernières Nouvelles d’Alsace »
« Le Chœur Lyrique de Centre Alsace à Sélestat sous la direction d’Eric Vivion fait partie des chœurs les plus demandés »
« Voyage en Alsace », Mai 2005 – « Le Monde de la Musique »
« Palais des Congrès – Strasbourg... à toute l’équipe du chœur lyrique : un grand merci pour la superbe introduction de la conférence, je n’ai que. des retours très favorables notamment d’Hubert Reeves qui m’a demandé de vous transmettre ses félicitations pour l’excellent moment que vous nous avez fait passer »
Patrick Barbier – Président d’Alsace Nature, 20 mars 2005 - Conférence H.REEVES - 40 ans d’Alsace Nature
« La puissance d’un chœur. Le dernier concert de l’association des Amis de l’orgue Stiehr-Mockers était d’excellente qualité.le superbe chœur lyrique de Centre Alsace, fondé et dirigé par Eric Vivion,le chœur lyrique de Centre Alsace avait choisi quelques œuvres lyriques introduites par le trio pour dames Stirb, Ungeheuer et Durch unsre Macht de Mozart interprété par les sensibles soprani Annie Libis, Régine Jost et Viviane Dedenon. Verdi était présent à ce concert avec des extraits de Macbeth et de Nabucco qui ont mis en évidence la recherche des nuances d’Eric Vivion et de son puissant chœur mixte. Avec Annie Libis et Régine Jost comme solistes on a aussi aimé un extrait de Cavalleria Rusticana. La musique sacrée était représentée par le sublime Ave Verum de Mozart.Les paroissiens ont réentendu les phrases harmonieuses du Cantique de Jean Racine de Fauré et de Francis Poulenc l’ Ave Verum, un harmonieux motet à trois voix pour chœur de soprano, mezzo et alto »
Concert Lyrique et Sacré Riedisheim, 09 Mars 2005 « L’Alsace »
« Grâce et spiritualité... Placées sous la direction de Eric Vivion les voix offrirent une belle palette des plus complètes pour restituer. avec puissance et justesse les œuvres musicales sélectionnées pour ce concert le répertoire choisi a révélé les talentueux membres du chœur lyrique. Plusieurs solos ont donné, encore davantage de prestance à ce groupe d’une très grande qualité. Satisfaction...Le public, venu nombreux, n’a pas tari d’applaudissements à l’égard du directeur, de l’organiste et des choristes, marque tangible de satisfaction pour ce concert devenu réel enchantement pour les cœurs. »
Concert Lyrique et Sacré Kintzheim, 19 janvier 2005 « Dernières Nouvelles d’Alsace »
« Le concert de l’inauguration… un magnifique concert donné par le chœur lyrique de Centre Alsace ».
Concert Lyrique et Sacré Kintzheim, 17 janvier 2005 « L’Alsace »
« Vers Noël avec le chœur lyrique « Des ténèbres à la lumière » tel était le titre du concert donné par le chœur lyrique de centre Alsace, dimanche soir en l’église Saint-Michel de Rhinau. Le chœur mixte, … sous la direction artistique de Eric Vivion, a invité son auditoire … à une liturgie chantante et contemplative sur les mystères du Christ, de la Vierge Marie et de Noël. Une prestation de toute beauté et d’une qualité exceptionnelle ! Estelle Gethoffert a tenu avec art et compétence l’orgue Rœthinger de l’église de Rhinau. Sonorités et tonalités, harmonieuses et mélodieuses, ont envahi l’église ainsi que le cœur des personnes du public… La première partie, empreinte d’une forte émotion intérieure, proposait : l’Ave Verum de W.A. Mozart, le Cantique de Jean Racine de Gabriel Fauré. Réjouis-toi, Marie, pleine de grâce de S. Rachmaninov, l’Ave Verum de F. Poulenc pour chœur de soprano, mezzo, alto et Magnificat de A. Pärt. … deux airs d’opera ont conquis l’auditoire : Va pensiero, extrait de Nabucco, de G. Verdi et Regina Cœli... Innegiamo al Signor extrait.de Cavalleria Rusticana de P. Mascagni.Le directeur du chœur, ténor solo a interprété de sa voix au timbre chaleureux, avec foi et conviction, Minuit chrétien. Le chœur lyrique a ensuite puisé dans le répertoire populaire en chantant à pleines voix un noël français., Nous sommes trois souverains princes et un noël du Sundgau La douce vierge. … les noëls traditionnels ont bien évidemment ravi le public qui fut invité à se joindre au chœur pour chanter la paix et la joie de Noël. Aux salves d’applaudissements, le chœur répondit en poursuivant avec des Noëls de toujours pour le plus grand plaisir de tous ».
Concert Lyrique et Sacré, Rhinau, 21 décembre 2004 « Dernières Nouvelles d’Alsace »
« Une soirée de grande qualité donnée par un ensemble dont la réputation des vingt choristes n’est plus à faire »
Concert Lyrique et Sacré Nuits St Georges, 01 septembre 2004 « Le Bien Public »
« L’Académie d’Orgue d’Issenheim propose quatre concerts d’importance sur le département. Le concert d’ouverture a été une rencontre étonnante entre l’organiste italien Andrea Macinanti et le chœur lyrique de Centre-Alsace... Le talent de l’organiste de Bologne, exprimé sur un Rinckenbach finement orchestré, et la complicité fervente du Chœur Lyrique de Centre-Alsace … un intermède magique.Eric Vivion et ses choristes ont élevé leur prière dans un souffle puissant, laissant chanter les paroles dans une délicieuse fusion des voix. Lux aeterna de Gaetano Donizetti, puis « patria oppressa » de Giuseppe Verdi ont montré un jeu parfait, illuminé par des solistes de grande ferveur, avec des pointes de sensualité et d’éloquence, resplendissantes d’émotion, …le populaire, « Va pensiero », extrait de « Nabucco » a permis au Chœur Lyrique de proposer une interprétation originale, par petites touches inspirées, loin des poncifs qui s’attachent habituellement à cette œuvre de Verdi. La dernière note de l’ « Hymne de Gloire » de Bossi envolée, lorsque les mains d’Éric Vivion ont, dans une ultime caresse remercié les choristes, c’est une ovation sans retenue qui a salué les concertistes, pour ce moment de plaisir et d’émotion. »
Académie Internationale d’Orgue d’Issenheim avec Andrea Macinanti, 15 juillet 2004 « Dernières Nouvelles d’Alsace »
« À l’église romane Chanteurs au cœur lyrique. Un chœur lyrique magnifique, salué par une ovation debout. Eric Vivion, ténor lyrique et chef de chœur d’exception. Le Chœur lyrique de Centre-Alsace a donné un concert salué par une formidable ovation. Il s’inscrivait dans la lignée des grandes prestations dont la cité des roses commence à prendre habitude. Le Psaume n°42 de Felix Mendelssohn-Bartholdy constituait une entrée puissance et pleine de vie dans la matière.. Ave verum de Francis Poulenc, un motet pour voix de femmes, chanté au milieu de la nef, … Touchant le public de près et libres de la proximité obligée du piano. les trois voix s’envolèrent vers le ciel, tel le chant des anges. Et le Magnificat a cappella de l’Estonien . Arvo Pärt avec ses sonorités archaïsantes, de continuer dans cette « intensité, naissant de la simplicité ! L’harmonie dans l’âme ! Cette musique de l’harmonie intérieure a trouvé son prolongement dans le magnifique Agnus Dei de Samuel Barber, une version vocale du célébrissime Adagio pour Cordes op. 11. Dans l’ambiance noble et quelque peu ascétique de la soirée, apparaissaient … quelques mesures de musique profane avec la Patria opressa extraite de Macbeth de Giuseppe Verdi et Regina cœli, Innegiamo al Signor, un fragment de la Cavalleria Rusticana de Pietro Mascagni. Le public applaudissant debout, le succès était indéniable ! Les chanteurs ont répondu par le fameux Chœur des esclaves de Verdi chanté assez lentement presque religieusement avec tous les détails d’articulation lisibles et un équilibre vocale et dynamique parfait ». (Jean Tavernier)
Festival Église Romane Concert Lyrique et Sacré Rosheim, 13 juin 2004 « Dernières Nouvelles d’Alsace »
« Belle montée en puissance... Le Chœur Lyrique de Centre Alsace a enchanté le public au temple protestant... L’offrande d’une terre intérieure... Le chœur est rôdé. Mieux, il chante, se donne avec une conviction toujours renouvelée et une sincérité vivante. On ne peut que s’extasier avec ravissement devant les divers registres explorés. Eric Vivion sait exploiter au plus fin les talents des uns et des autres, toutefois et toujours au service d’une œuvre collective, d’une harmonie qui élève. On se laisse étonner, subjuguer, éblouir : on reste suspendu à des effets que les compositeurs choisis ont arraché de leurs terres intérieures, profondes. Ainsi l’apothéose peut se rencontrer dans l’extraordinaire et émouvant « Agnus Dei » de Samuel, Barber (1910-1981).L’Ave Verum de Francis Poulenc (1890-1963), les extraits du Requiem de Gabriel Fauré (18451924) ; un extrait de la flûte enchantée de Mozart,le Placido è il mar toujours de Mozart ainsi qu’une pièce de Josef Haydn, sont de la même veine apportant chaque fois un magnifique dépaysement. Toutes les œuvres suscitent une sublime et très belle osmose tant elles sont conduites avec douceur, vigueur, subtilité, donnant aux voix, au chœur une chaleur voluptueuse qui sied si bien, désormais au chœur Lyrique de Centre Alsace. Chanter est une œuvre et on s’en rendra compte grâce à une rythmique époustouflante, parfaitement synchronisées laissant se dévoiler l’extrait de Nabucco de Guiseppe Verdi avec une force dramatique splendide Patria Oppresa, extrait de Macbeth de Verdi, Régina Coeli de Pietro Mascagni : le chœur achève la prestation avec une maestria festive de bon aloi. Pratiquement deux heures se sont écoulées. Mais quel régal ! ». (Gilbert Mosser)
Concert Lyrique et Sacré Barr, 6 avril 2004 « L’ALSACE »
« Chaud au chœur...Eric Vivion, directeur artistique de l’ensemble, étonne à chaque fois par la variété des prestations présentées.…Cette fois-ci, les œuvres chantaient le printemps, le renouveau, l’espérance et la liberté. … autant de voix extraordinaires enchantant l’assemblée qui en oubliait parfois d’applaudir tant le charme opérait. Cet extrait de la « Flûte enchantée » de Mozart, mise en scène, donnait ce caractère théâtral une autre facette d’Éric Vivion. L’extrait de Nabucco de Giuseppe Verdi, affectionné du public, fut un grand’ moment parmi les autres. Une fois de plus le chœur lyrique du Centre Alsace a réussi son challenge »
Concert Lyrique et Sacré Barr, 4 avril 2004 « Dernières Nouvelles d’Alsace »
« Michel Chapuis a proposé quelques pièces particulièrement adaptées à la sonorité de l’instrument et dues à des compositeurs peu connus des auditeurs : Georges Muffat, Maurice Brosig et Alexandre Guilmant. Intervenant en alternance, le chœur lyrique de Centre-Alsace placé sous la direction d’Éric Vivion a donné des œuvres de WA Mozart, Félix Mendelssohn-Bartholdi, Charles Gounod et Samuel Barber une interprétation particulièrement poignante de l’Agnus Dei ».
Académie Internationale d’Orgue d’Issenheim, 21 mars 2004 « Dernières Nouvelles d’Alsace »